Archive pour la catégorie ‘TPE’

Beatification d’un prêtre assassiné par la mafia

rizzoli mafia antimafia

Béatification Don Puglisi

Le cardinal émérite de Palerme, Mgr Salvatore De Giorgi, représentait le pape François à cette cérémonie, en présence de 40 évêques et 750 prêtres. Il y avait aussi les ministres de l’intérieur, Angolino Alfano qui fait la bise au boss (cf. Le baisé oublié), et de la Justice, Anna-Maria Cancellieri qui propose qu’on vende aux enchères les biens confisqués à la mafia… (cf. 1er mai 1947 : Portella della Ginestra, 11 morts)

On comprend pourquoi le frère de la victime, Gaetano, a affirmé dans un livre récent: « j’aurais préféré le voir en vie plutôt que béatifié ». « L’Eglise le béatifie aujourd’hui, mais quand il a eu besoin d’aide, personne n’était là » (cf. Le Vatican et la mafia : le compte n’y est pas!)

Voir "église" et "religion" dans le Petit dictionnaire énervé de la mafia

Voir « Eglise » ou « religion » in

Le père Puglisi a toujours lutté contre la mafia d’abord à Godrano où son intervention dans les années 70 met fin à une guerre de mafia atroce. Puis, il revient au début des années 90 à Brancaccio (cf. Meudon-Brancaccio : jumelage de la légalité et de l’espoir)

Là, il redonne confiance à la population en aidant les enfants dans leur scolarisation. Il se bat pour obtenir l’arrivée de l’Etat dans ce quartier aux mains des frères Graviano. La population commence à suivre le prêtre au dépens de la mafia. Comment on le sais? Malgré les menace de la mafia, les fidèles vont à la messe de Don Puglisi… Pour cela il est assassiné en 1993 par Salvaore Grigoli qui après ce meurtre, le 49ème… arrêtera sa vie de sicaire.

Mais pourquoi l’Eglise n’incite pas les mafieux, dans le secret de la confession, à rompre avec leur vie contraire aux lois du Christ et donc à collaborer avec la justice?

Il y a peu d’analyse en langue française sur le rapport entre mafia et église sauf dans le petit dictionnaire énervé de la mafia«  🙂


 

Revue internationale de l’économie sociale

Coopératives et réutilisation sociale des biens confisqués à la mafia. Le projet Libera Terra en Sicile

Numero de revue : 328   Année de publication : 2013

Auteurs : Niccolò Mignemi (cf. 1er mai 1947 : Portella della Ginestra, 11 morts)

Une loi de 1996 introduit en Italie le principe de la réutilisation sociale des biens confisqués aux mafias par leur concession en faveur de coopératives ou d’autres associations. L’étude s’intéresse au cas des coopératives sociales siciliennes du projet Libera Terra, et en particulier à l’exemple pionnier de la Placido Rizzotto, créée en 2001 dans l’arrière-pays de la province de Palerme. L’analyse du microcosme qui entoure cette genèse permettra d’approfondir les aspects économiques, sociaux et institutionnels de l’initiative, surtout dans une perspective de développement local. Avec un regard tourné vers les dynamiques de plus longue durée, cette expérience est l’occasion d’interroger le rapport entre instrument coopératif en agriculture et caractéristiques du terroir, sous la triple déclinaison de l’histoire héritée, des contraintes imposées par le contexte et des opportunités offertes par les ressources disponibles.

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Colloque jeudi 25 Avril : Crime organisé : un enjeu européen?

L’IRIS, la Maison de l’Europe et l’Observatoire Géopolitique des Criminalités
ont le plaisir de vous convier à participer à la conférence-débat :

MAFIAS, CRIMINALITÉ: UN ENJEU EUROPÉEN ?

Jeudi 25 avril, 18H30, Maison de l’Europe
35-37 rue des Francs-Bourgeois – 75004 Paris

ConféreVoir "antimafia" dans le Petit dictionnaire énervé de la mafiance-débat organisée en partenariat avec la Maison de l’Europe et l’Observatoire Géopolitique des Criminalités (OGC) autour de Fabrice RIZZOLI, auteur du « Petit dictionnaire énervé de la mafia« , docteur en sciences politiques et enseignant (IRIS Sup’), représentant en France du réseau associatif contre la criminalité organisée transnationale FLARE (Freedom Legality And Rights in Europe) et Michel KOUTOUZIS, expert auprès du Service européen pour l’Action extérieure (SEAE), chercheur à l’Observatoire Géopolitique des Criminalités (OGC) et auteur de « Crime Trafics et réseaux« . Voir le petit dictionnaire énervé de la mafia

Le débat sera animé par Fabio LIBERTI, directeur de recherche à l’IRIS.

« Le crime organisé est-il aussi puissant en Europe que les journaux aiment à le répéter ? Tous les trafics affichent des chiffres d’affaire records, de 300 milliards à 500 milliards pour la drogue ou 15 à 250 milliards pour la contrefaçon… Il n’y a aucun progrès mesurable en matière de lutte contre le blanchiment et contre les paradis fiscaux. Toute l’attention se porte sur une crise qui fait rage mais ne peut-on par faire un lien entre les deux phénomènes? Face à un problème global, quelles sont les réponses de l’Europe? Face à ce péril démocratique, une commission parlementaire européenne, CRIM, travaille depuis un an sur le sujet. »

Nous vous remercions de bien vouloir confirmer votre présence en cliquant sur le lien suivant :

INSCRIPTION
(inscription obligatoire, dans la limite des places disponibles

Les narco-comptoirs des mafias italiennes en Amérique latine

Les narco-comptoirs des mafias italiennes en Amérique latine

Quelques éléments historiques de géopolitique

Par Fabrice Rizzoli

Les acteurs criminalisés qui  prospèrent  dans certains territoires précis dérogent totalement aux règles du système légal. Pour contrôler le secteur concerné, ils imposent mêmes leurs règles à la collectivité.

Cependant leurs réseaux et les flux de diverses natures qu’ils véhiculent s’articulent, et sont relayés, bien au-delà des frontières de ces espaces de non-droit, capables même de se projeter et d’opérer à l’échelle transnationale. C’est ce qu’illustre l’article de Fabrice Rizzoli sur les « narco- comptoirs » latino-américains des mafias italiennes.

La série de visuels de cette enquête principalement historique met en évidence la persistance dans le temps entre organisations mafieuses des deux côtés de l’Atlantique, et l’étendue des liens tissés depuis des dizaines d’années. Cliquez : Revue OGC

Mafias.fr dans un livre sur le blanchiment

Techniques de blanchiment et moyens de lutte

Eric Vernier

Collection: Fonctions de l’entreprise, Dunod2013 – 3ème édition – 304 pages – 152×240 mm

Blanchir l’argent sale, c’est remettre dans le circuit officiel le fruit des trafics en tout genre (crime, drogue, prostitution, détournement de fonds, prise d’otages). Cet ouvrage propose un panorama détaillé et exhaustif des différentes techniques de blanchiment, des plus simples aux plus sophistiquées, ainsi que les moyens de lutte mis en place au niveau national, européen et international.Cette3e édition est mise à jour des nouvelles législations et statistiques, et s’enrichit de nombreux avis d’experts. Technique et très complet, cet ouvrage est principalement dédié à la formation des personnels de la banque, des conseillers fiscaux et des conseils en gestion de patrimoine (professions exposées).

Sommaire

L’argent sale. Les origines de l’argent sale. L’origine géographique de l’argent sale. Les techniques de blanchiment. Les définitions et typologies du blanchiment. Les techniques artisanales. Les techniques financières. Les moyens de lutte. Les textes nationaux et internationaux. Les organismes officiels. Un combat déloyal. La pratique bancaire en France, en Allemagne et au Luxembourg. Les obligations des banques. Les déclarations d’intentions à l’épreuve de la pratique. La lutte des banques contre le blanchiment. L’état des lieux et les enjeux internationaux. La situation française. La situation mondiale. Les enjeux politiques, économiques et sociaux.

Biographie des auteurs
Eric Vernier – Docteur en finance, Maître de conférences à l’université du littoral côte d’opale (ULCO), il enseigne également au Centre de formation des journalistes (CFPJ), Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), ESC Lille, ESC Amiens, ESC Reims, HEC Executive, Université catholique de Lille, Université du Groupe Caisse d’épargne, Université d’Angers… Expert APM et consultant international sur les questions de blanchiment il effectue des missions d’audit sur les risques de blanchiment et des formations pour des groupes financiers internationaux. Il est administrateur de la Caisse d’épargne Nord France Europe.

Publics : Étudiants en universités et écoles de commerce (Master Banque et finance); Banquiers; Experts-comptables et professions du conseil ; Magistrats et policiers ; Chefs d’entreprise

Voir blanchiment, cols blancs, Antimafia dans le Petit dictionnaire énervé de la mafia... et de l'antimafia

Le Cinéma antimafia chez Marcovaldo PARIS

Marcovaldo – Cinemovel

61 rue Charlot 75003 Paris

Samedi 20 avril 2013 à partir de 19h

Avec le concours de FLARE France, Libera France, Ethicando, Altritaliani, FocusIn, Anteprima, Meet-up, La Libreria, Newropeans vous invitent à la soirée 

« Libre cinéma sur des terres libérées de la mafia »

Projection du documentaire « Cinéma itinérant antimafia tour 2009 »

Avec des interviews de réalisateurs et des militants de l’Antimafia

Projection suivie d’un débat sur l’Antimafia sociale avec Fabrice Rizzoli, auteur du Petit dictionnaire énervé de la mafia, participant de la saison cinémovel 2011

Animation : Lucie Geffroy, journaliste au Courrier international spécialiste de l’Italie

La soirée sera dédiée au projet Cinémovel « Duisbourg/Marseille/Paris » sur la plateforme de financement participatif KissKissBankBank

PS : film en italien sous-titré en anglais

Voir "cinéma" dans le Petit dictionnaire énervé de la mafia
Siculiana 2011

Né en 2006, « Libre Cinéma sur les Terres Libérées » est un projet unique en Europe.

Promu par Cinemovel Foundation ( dont Ettore Scola est le président d’honneur) et par l’association Libera, créée par don Luigi Ciotti, « Libre Cinéma sur les Terres Libérées » est un festival de cinéma itinérant contre les mafias.

Le projet est né de la conviction que le cinéma et l’action collective jouent un rôle fondamental dans la lutte contre la criminalité organisée.

Depuis sept ans, la caravane Cinémovel parcourt chaque année plus de 5 000 km aux mois de juin et juillet et organise chaque jour, dans une ville différente, une projection de cinéma en plein air : des documentaires et des longs métrages de fiction sur des thèmes liés au crime organisé et à la lutte antimafia. Mafias.fr y était en 2011 (cf. Sicile 6 : le cinéma antimafia) et en 2012 (cf. Le cinéma antimafia arrive à Paris)

Suivant la constante propagation du phénomène mafieux, Cinémovel organise depuis plusieurs années des projections dans le Nord de l’Italie. En 2012, elle a fait étape à Paris. En 2013, l’association souhaite également organiser des projections à Marseille, Bruxelles et Duisbourg (Allemagne).

Pour plus d’informations : KissKissBankBank

La revue n°6 de l’OGC en ligne !

Voir géopolitique le petit dictionnaire énervé de la mafiaL’Observatoire Géopolitique des criminalités (OGC)  sort le sixième numéro de sa revue ! Le sommaire est, comme d’habitude accessible ici gratuitement, afin que vous puissiez (encore une fois) constater de la diversité des sujets traités ou encore de la précision et de la pertinence avec lesquels ils sont étudiés.


Au sommaire de cette sixième revue, un gros morceau consacré à l’Amérique Latine et le Narcotraffic avec par exemple les orphelins du crime organisé au Mexique ou encore l’excellent article/enquête de notre intervenant FLARE France, Fabrice Rizzoli sur la question des narco-comptoirs des mafias Italiennes en Amérique Latine.


Si cette revue vous a intéressé, n’hésitez pas à vous inscrire à la lettre d’information de l’OGC pour vous tenir au courant de toutes leurs actions.

Mercredi 13 février : « argent sale » avec Nicolas Glimois

Projection / Débat

FLARE France / ETHICANDO / OGC/  Démocrates Paris / Newropeans / FocusIn / Altitaliani / Meet up

Venez découvrir les coulisses du documentaire L’argent sale

produit par Mano à Mano 

Mercredi 13 février 2013  à 20H

ETHICANDO

6 rue de la Grange aux Belles 75010 Paris Métros Bonsergent/République/Gare de l’Est/Colonel Fabien

Entrée libre, consommation antimafia obligatoire

Voir journalisme dans le Petit dictionnaire énervé de la mafia... et de l'antimafia

Nicolas Glimois

En présence de Fabrice Rizzoli consultant et auteur du Petit dictionnaire énervé de la mafia

Modération Maria Chiara Prodi Libera France

La banque américaine Wachovia a blanchi 378 milliards dollars des cartels mexicains. La justice Italienne a saisi pour 11 milliards d’avoirs criminels en deux ans.

Comment filmer cette réalité?

Nicolas Glimois a interviewé Francesco Forgione (cf.Mafia export), le maire de Naples Luigi de Magistris (cf.Lobbying antimafia à Bruxelles) ; des observateurs du monde criminel tels que les essayistes Jean-François Gayraud (cf. De La Cosa Nostra (LCN) : une mafia américaine!) et Xavier Raufer ; des « activistes » antimafia comme Ilaria Ascione et Stefan Gisler ; les spécialistes de la finance Martin Woods, John Christensen et les magistrats Roberto Di Palma (cf.Vengeance transversale ou conséquence de la mondialisation?, Jean de Maillard (cf.L’Arnaque) et Eric de Montgolfier. 

Une soirée autour des produits faits sur des terres confisqués aux mafias:)

Un de mes élèves se déchaine

Voir le petit dictionnaire énervé de la mafiaDans le cadre du cours de CRIMINALITE ORGANISEE ET TERRORISME aux Hautes Etudes Internationales, les élèves sont invités pour le contrôle continu à trouver un article sur la criminalité organisée (merci Crimorg.com) et à le commenter. Un de mes élèves s’est déchaîné sur les mafias italiennes

Communiqué du site crimorg.com, le 13 janvier 2012 :

« Antonio Gagliardi, 41 ans, a été abattu de 5 balles de 7.65 alors qu’il sortait du domicile de sa compagne à Lamezia Terne. Connu pour trafic de stupéfiants, il était surtout un membre de la famille du repenti de la ‘Ndrangheta Umberto Egidio Muraca. On ignore s’il s’agit d’un « simple » règlement de comptes ou d’une « vengeance transversale » visant le repenti. »

A partir de ce communiqué, il est possible de retenir trois grands axes clés démontrant l’implication du
système mafieux dans cette affaire. En effet, au-delà de la simple mention de la ‘Ndrangheta, organisation mafieuse calabraise, on peut retenir deux autres éléments principaux montrant l’empreinte d’un système criminel de type organisé (et non de type gang local) dans cette affaire : le lien avec le trafic de stupéfiants, ainsi que la méthode utilisée du règlement de comptes (la vengeance transversale…). Détaillons en quelques lignes les points clés montrant un rouage du système mafieux abordé par le prisme de l’élimination d’un de ses membres.

I) Le trafic de stupéfiants au cœur de l’affaire
– 11eme critère de la Commission Européenne (retravaillé par le groupe d’experts sur le crime organisé du Conseil de l’Europe en 1997) => l’organisation agit pour le profit et le pouvoir.
– Or, le trafic de drogue reste l’activité la plus rentable avec 27,24 milliards d’euros par an (62 % du revenu total (cf. (cf. United of colors of dealers).)
– 80 % de la cocaïne en Europe, transite par la `Ndrangheta en Italie (cf. ‘Ndrangheta export).
– La Ndrangheta a supplanté la Cosa Nostra pour le trafic de drogue, notamment en provenance de Colombie et sous l’influence de Toto Miceli et de Stefano de Pascale (coordinateur financier).

II) Le lien avec la ‘Ndrangheta
– Selon le dernier rapport d’Eurispes, institut de données économiques, sociales et politiques sur le crime organisé en Italie, la `Ndrangheta, la mafia calabraise, serait devenue la plus riche et la plus puissante organisation criminelle d’Italie, devant Cosa Nostra cf. « mafia number one » .
– Cette analyse confirme le dernier rapport de la commission parlementaire antimafia et des services de
renseignements italien (art 13). Récemment, les États-Unis ont décidé d’inscrire sur sa liste noire la `Ndrangheta comme étant l’organisation criminelle la plus puissante au monde, considérant que la mafia calabraise avait infiltré une grande partie de l’économie américaine.
– Au-delà de la criminalité en réseau, cet article court évoque le lien avec la criminalité organisée de type « aristocratique » : Gigliardi était un « homme d’honneur » appartenant à la famille (subdivision de la structure mafieuse) d’un repenti (Umberto Muraca).
– Notons à ce titre qu’il y a beaucoup moins de repentis dans la ‘Ndrangheta que dans la Cosa Nostra : les liens entre « honneurs d’honneur » sont plus forts et le verrouillage des « institutions mafieuses » plus étroit.
III) La méthode du règlement de comptes et les rites mafieux
– Le code d’honneur des mafias permet le « règlement de comptes » entre mafieux, si un litige oppose des hommes d’honneur, mais la vendetta n’a pas pour objective d’être transformée en « vengeance transversale ». Dans ce cas de figure dangereux pour la structure mafieuse, des familles s’opposent pour le contrôle des territoires (ex : une famille empiète sur le territoire d’une autre). La commission provinciale (mafieuse) qui règle normalement les conflits au niveau d’une province (subdivision du territoire) entre familles semble avoir perdu de l’influence ou autorisé la suppression d’un gêneur (après préavis), dont les liens avec un repenti pouvaient constituer un danger. (ex : collaboration avec les autorités). Rappelons à ce titre que l’engagement dans la structure mafieuse, contracté parfois dès 14 ans, est initiatique (on signe avec du sang versé), et irréversible : on ne peut quitter la mafia (sauf en changeant d’identité et de pays).
– Ceci est rappelé par les critères 4 et 7 de la Commission Européenne retravaillés par le groupe d’experts sur le crime organisé du Conseil de l’Europe (1997) : « forme de discipline et de contrôle » « recourant à la violence ou à d’autres moyens d’intimidation ». (Ex : Massacre de Duisbourg de 2007 => on s’est mis à connaître la ‘Ndrangheta peu à peu.)
– La mafia est une société secrète et non un gang. On n’y rentre pas par copinage, mais par initiation. Il s’agit d’une cérémonie lors de laquelle le « novice » est piqué au doigt par son « parrain » (le représentant d’une famille) ; lorsque coule une goutte de sang, ce dernier avertit « Ceci est un lien de sang. Ton allégeance à Cosa Nostra (Notre Chose) est scellée par le sang. Si tu viole ton serment, ton sang coulera ».
Samuel Rimbaud

Mafias.fr à Radio Campus Lille

« Traverse! »

Une  émission de Françoise Objois
Ma petite invitation sur le bord de la  rivière…
Le samedi de 13h à 14h sur le  106.6 de Radio Campus  Lille ou sur Radio Campus Lille    (archivage des émissions sur 8 semaines)


samedi 19 janvier 2013
sur le 106.6 de Radio Campus à 13h

Au menu cette semaine : géopolitique et musique 

ECOUTEZ en Cliquant

Voir le Petit dictionnaire énervé de la mafia et de l'AntimafiaFabrice Rizzoli – docteur en sciences politiques spécialiste de la criminalité organisée, Fabrice Rizzoli est l’auteur du Petit dictionnaire énervé de la Mafia (éditions de l’Opportun). Il est le représentant en France du réseau associatif FLARE (Freedom Legality an Rights in Europe) qui milite pour la réutilisation à des fins sociales des biens confisqués au crime organisé. Site

Laurent Dupont 
– metteur en scène/manipulateur très impliqué dans le théâtre musical à propos de Micro Mega, la libre adaptation pour le jeune public du premier opéra composé par Prokofiev à huit ans, Le Géant produit par l’association de décentralisation lyrique La Clef des Chants.

22 et 23 janvier 2013 – Maison Folie Beaulieu de Lomme : La clef des Champs

Pauses musicales : Unité Centrale (Philippe Mylle et Olivier Doise)– Voyage entre deux mondes

Générique de l’émission : Goran Bregovic, Underground-Cocek

Les chroniqueurs de Traverse ! Francis Collet (littérature) – François Ide (philosophie)

La mafia de A à Z
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